La peine de mort est instrumentalisée comme outil de répression (envers la population) et
de pression (entre pays).
De nombreux pays l’utilisent comme moyen de répression politique et/ou religieuse : on ne manifeste pas contre une politique gouvernementale, quand le simple fait de donner son avis suffit à vous envoyer à l’échafaud.
Elle est aussi fréquemment utilisée comme outil de pression entre pays, les condamné·e·s à morts étranger·ère·s faisant l’objet de tractations et étant utilisé·e·s pour des raisons politiques.
En Iran par exemple, 120 personnes ont été exécutées entre 2010 et 2019 pour appartenance à des groupes politiques interdits.