Plusieurs catégories d’acteurs peuvent soumettre des rapports sur la situation des droits de l’Homme dans le cadre de cet examen : les autorités nationales du pays examiné, les institutions nationales de défense des droits humains (INDH) et les organisations de la société civile (comme ECPM).
À l’issue de l’examen, des recommandations sont formulées au pays examiné, qui les accepte ou les rejette, puis le rapport officiel est édité dans les mois suivants. Un suivi de l’évolution des points soulevés dans ce rapport est ensuite effectué jusqu’au prochain EPU, cinq ans plus tard.
Le rôle d’ECPM dans les EPU
ECPM a soumis à plusieurs reprises des rapports conjoints avec d’autres organisations visant à fournir des informations actualisées pour comprendre la réalité de la peine de mort dans les pays examinés.